chandelier juif hanouka

The requested URL /video.php?video_id=27912 was not found on this server.Béziers : Hanouccah fêtée en mairie à côté de la crèche e maire Robert Ménard allumera la première bougie du chandelier à neuf branches de la fête juive Hanouccah, mardi 16 décembre, à 11 h, dans le hall d'entrée de l'hôtel de ville de Béziers (Hérault). Comme il l'avait annoncé lors de l'inauguration de la crèche en mairie, Robert Ménard allumera, mardi 16 décembre, à 11 h, la première bougie du chandelier à neuf branches - et non sept comme avait dit le maire - de Hanouccah dans le hall d'entrée de l'hôtel de ville. Cette manifestation se fera en association avec le consistoire de Béziers. "L'histoire, le sens et le message des lumières" Son président Maurice Abitbol rappelle : "Hanouccah célèbre la liberté d'expression, tant au niveau individuel que collectif. Il démontre la supériorité de la lumière sur l'obscurité, du droit sur la force, de l'espoir sur la peur (...)
C'est dans cet esprit que le rabbi de Loubavitch, rabbi Mena'hem Mendel Schneerson lança, il y a quelques années, un appel à tous les Juifs du monde, leur demandant de regarder la fête de Hanouccah comme un guide pour traverser les événements graves du moment. Il encouragea alors la mise en place de Ménorah dans l'espace public afin de partager ce message de lumière et d'espoir avec tous. moooi paper chandelier xlC'est pourquoi, avec toutes les communautés juives du monde, avec l'accord, le soutien, et souvent la participation, des autorités civiles et religieuses, nous sommes heureux de présenter cette Ménorah publique ainsi que l'histoire, le sens et le message des lumières."chandelier puiforcat "Pas choqué" par la crèche en mairiechandelier cafe koo wee rup
En ce qui concerne la crèche, Maurice Abitbol donne son avis personnel : "Je n'ai pas été choqué par son installation en mairie, c'est un lieu de vie. En préfecture, c'est différent. C'est une tradition française, j'ai toujours vu des crèches chez des pratiquants et des non-pratiquants. Ce n'est pas spécialement religieux, mais dans notre communauté, cela a choqué des personnes et je peux le comprendre." Pour lui : "Ce n'est pas une agression contre la laïcité. L'allumage de la Ménorah à côté de la crèche est plutôt consensuel. Ce n'est pas exclusif et cela n'exclut personne." Revenant sur ses relations avec Robert Ménard, il parle de "courtoisie" et précise : "Le Front national n'est pas ma tasse de thé et le maire le sait. Il dit qu'il n'est pas FN, qu'il est simplement soutenu par ce parti, mais je reste vigilant. Le problème c'est que ceux qui nient la réalité de nos concitoyens favorisent le FN. Il y a un malaise qui existe. Mais la culture et les traditions françaises, ce n'est pas le FN. C'est la France, c'est mon pays et affirmer une identité, ce n'est pas en stigmatiser une autre."
à lire sur midilibre.fr Feux de forêt : les pompiers gardois anticipent les bons gestes Bébé tué à Bessèges par son père : le procès fou des assises du Gard Les élus de Bessèges en visite à l’entreprise "A tout bois de cœur" Dans la religion juive, hannukka, est la fête des lumières. Ce jour-là les croyants illuminent leurs logements. Elle commémore la dédicace du Temple de Jérusalem par Judas Maccabée. Elle a pour origine la fête païenne qui célébrait le solstice d'hiver (fin décembre). Elle est aussi la célébration d'une victoire des juifs sur les Grecs de l'époque hellénistique. Au mois de décembre, les juifs ne célèbrent pas Noël, mais Hanoukka. Cette fête est aussi appelée "fête des lumières". Elle commémore une ancienne victoire militaire du peuple juif contre un roi cruel, et un miracle qui se produisit dans le temple de Jérusalem, au deuxième siècle avant Jésus-Christ. Au deuxième siècle avant Jésus-Christ, la Palestine (actuel Israël) est gouvernée par des souverains séleucides de Syrie.
Au début, ces rois originaires de Grèce entretiennent de bonnes relations avec le peuple juif, dont ils respectent les traditions religieuses. En effet, les juifs sont exceptionnels dans le monde de l'époque car ils sont les seuls croyant en une religion monothéiste, alors que toutes les autres peuples sont polythéistes. Le menorah, le chandelier à sept branches Au milieu du siècle, l'entente des deux religions se dégrade. Le roi Antochius Épiphane qui règne de 175 à 164 av. J.-C., finit par instaurer une persécution des juifs ; il leur interdit strictement de pratiquer leur religion. Il fait même installer une statue représentant le dieu grec Zeus dans le temple juif de Jérusalem. Les juifs sont scandalisés de cet antijudaïsme qui n'accepte pas la pratique de leur religion. En 167 av. J.-C., une partie des juifs se révoltent contre le roi. C'est la révolte des Maccabées. Enfin, en 164 av. J.-C., les juifs obtiennent la victoire ; Antochius annule les mesures qu'il avait prises afin de rétablir la paix en Palestine.
Quelques années plus tard, les juifs parviennent à se libérer totalement de la domination séleucide et retrouvent leur indépendance. Synagogue de Bruxelles, on aperçoit au fond l'hanoukiah, le chandelier à 8 branches dont on allume une bougie supplémentaire chaque jour Forts de cette victoire, les juifs peuvent reprendre possession de leur temple à Jérusalem et y rétablissent leur culte. Au moment de rallumer le menorah, le chandelier à sept branches dont la lumière doit briller chaque jour dans le temple, ils ne retrouvèrent dans le bâtiment qu'une petite fiole d'huile d'olives pure et bénie par les prêtres, la seule pouvant être utilisée dans le temple. Cette quantité d'huile suffisait à peine pour une journée mais elle dura miraculeusement huit jours, le temps que les prêtres aient pu disposer d'un nouveau stock d'huile sainte. C'est la victoire contre les séleucides et le miracle de l'huile rouge qui incitent les juifs à célébrer aujourd'hui encore la fête d'Hanoukka (inauguration en hébreu).